Nous joindre

Bienvenue au Centre Académique Fournier !

N’hésitez pas à communiquer avec nous pour toute question relative à notre école.


5919, boul. Henri-Bourassa Ouest
Saint-Laurent QC H4R 1B7

Signaler une absence

Pour signaler une absence, merci de laisser un message au secrétariat
du volet concerné.

Nous joindre
au primaire


Du lundi au vendredi,
de 8h à 16h.


Téléphone : 514 321-2642
Télécopieur : 514 321-0278

Nous joindre
au secondaire


Du lundi au vendredi,
de 8h à 16h.


Téléphone : 514 321-1546
Télécopieur : 514 321-9604

Équipe de direction :

Directrice générale
Paola Gravino, poste 223
pgravino@academiefournier.qc.ca

Directrice générale adjointe et directrice des services pédagogiques
Isabelle Couture, poste 232
icouture@academiefournier.qc.ca

Directeur des ressources matérielles et informatiques
Joseph Gravino, poste 231
jgravino@academiefournier.qc.ca

Directrice des services complémentaires
Emily Cloutier-Légaré, poste 226
ecloutierlegare@academiefournier.qc.ca

Directrice adjointe des services pédagogiques
Lyne Labelle, poste 242
llabelle@academiefournier.qc.ca

Directrice financière et des ressources humaines
Christianne Laliberté, poste 238
claliberte@academiefournier.qc.ca

Secrétaire de direction
Caroline Dufort, poste 224
cdufort@academiefournier.qc.ca

Responsable des communications
Marisa Gravino
mgravino@academiefournier.qc.ca

Secrétariat:

Secrétaire
Lise Martin, poste 221
lmartin@academiefournier.qc.ca

Réceptionniste
Johanne Lavoie, poste 222
jlavoie@academiefournier.qc.ca

Agente de bureau (uniformes)
Martine Arrelle
marrelle@academiefournier.qc.ca

Dénombrement Flottant :

Orthopédagogue
Nancy Crevier, poste 230
adelisle@academiefournier.qc.ca

Orthopédagogue
Lynn Lower, poste 229
llower@academiefournier.qc.ca

Orthopédagogue
Susana Nunez, poste 236
snunez@academiefournier.qc.ca

Othopédagogue
Joël Toussignant, poste 235
jtousignant@academiefournier.qc.ca

 

Équipe de professionnels (PNE) :

Agente en stimulation du langage
Faïza Ghalem
fghalem@academiefournier.qc.ca

Agente en stimulation du langage
Mélanie Bélanger
mbelanger@academiefournier.qc.ca

Consultant en rééducation
Rodrigue Cajazzo, poste 307
rcajazzo@academiefournier.qc.ca

Orthophoniste
Ariane Longpré, poste 326
alongpre@academiefournier.qc.ca

Orthophoniste
Marie-Ève Mascolo, poste 233
memascolo@academiefournier.qc.ca

Psychoéducatrice
Claudyne Desranleau, poste 237
cdesranleau@academiefournier.qc.ca

Psychoéducatrice
Elsy Fneiche, poste 228
efneiche@academiefournier.qc.ca

Psychoéducateur
Eric Duplessis, poste 234
eduplessis@academiefournier.qc.ca

Psychologue
Anick Laverdure, poste 233
alaverdure@academiefournier.qc.ca

Psychologue
Josée Trinci, poste 227
jtrinci@academiefournier.qc.ca

Responsable du climat scolaire
Stéphanie Taché, poste 212
stache@academiefournier.qc.ca

Sexologue
Aula Sabra, poste 241
asabra@academiefournier.qc.ca

Responsables de la loi 25
Caroline Dufort, poste 224
Christianne Laliberté, poste 238

 

LE PROTECTEUR NATIONAL DE L’ÉLÈVE

Droits de l’élève et des parents
Le Protecteur national de l’élève est responsable de l’application de la procédure de traitement des plaintes et des signalements dans le milieu scolaire québécois.

Dans le cadre de cette procédure nationale et uniformisée, le Protecteur national de l’élève peut compter sur la présence, partout au Québec, de protecteurs régionaux de l’élève. Ensemble, ils veillent à faire respecter les droits des élèves et de leurs parents et contribuent ainsi à l’amélioration continue des services offerts dans le réseau de l’éducation.

Porter plainte:

En cas d’insatisfaction au regard des services scolaires qu’il a reçus, qu’il reçoit, qu’il aurait dû recevoir ou qu’il requiert, un élève ou ses parents peuvent formuler une plainte selon une procédure comportant aux plus trois étapes :

Étape 1 – Personne directement concernée ou son supérieur:

Pour déposer une plainte, l’élève ou son parent s’adresse tout d’abord à la personne directement concernée ou à son supérieur immédiat.
La plainte peut être verbale, mais il est préférable de la faire par écrit.
La personne qui reçoit la plainte a un délai de 10 jours ouvrables pour y répondre.

Étape 2 – Responsable du traitement des plaintes:

Si l’élève ou son parent demeure insatisfait du traitement de leur plainte ou si le délai de 10 jours ouvrables est dépassé, il peut ensuite s’adresser au responsable du traitement des plaintes du centre de services scolaire, de la commission scolaire ou de l’établissement d’enseignement privé selon le cas.
La plainte peut être verbale, mais il est préférable de la faire par écrit.
Le responsable du traitement des plaintes dispose d’un délai de 15 jours ouvrables pour y répondre :

Emily Cloutier Légaré
Directrice des services complémentaires
514-321-2642 poste 226
ecloutierlegare@academiefournier.qc.ca

Étape 3 – Protecteur régional de l’élève:

Si l’élève ou son parent est toujours insatisfait du traitement de sa plainte, ou si le délai de 15 jours ouvrables est dépassé, il peut communiquer avec le protecteur régional de l’élève de sa région. Celui-ci assistera l’élève ou son parent dans la formulation écrite de sa plainte.

L’élève ou son parent peut choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :

Le protecteur régional de l’élève dispose de 20 jours ouvrables pour examiner la plainte et émettre ses conclusions. S’il juge la plainte fondée, il pourra formuler des recommandations au centre de services scolaire, à la commission scolaire ou à l’établissement d’enseignement privé.

Avant leur transmission, les conclusions sont cependant examinées par le Protecteur national de l’élève, qui dispose pour sa part d’un délai maximal de 5 jours ouvrables pour décider d’examiner lui-même la plainte. Dans cette éventualité, il dispose alors de 10 jours ouvrables pour en terminer l’examen et substituer, au besoin, ses conclusions ou ses recommandations à celles du protecteur régional de l’élève.

Le protecteur régional de l’élève informe ensuite la personne plaignante et le centre de services scolaire, la commission scolaire ou l’établissement d’enseignement privé des conclusions, ainsi que des recommandations s’il y a lieu.

Le centre de services scolaire, la commission scolaire ou l’établissement d’enseignement privé a 10 jours ouvrables pour informer la personne plaignante et le protecteur régional de l’élève des suites qu’il entend donner aux conclusions et aux recommandations et, le cas échéant, les motifs justifiant son refus d’y donner suite.

À noter qu’en situation d’acte de violence à caractère sexuel, un élève ou l’un de ses parents peut s’adresser directement au protecteur régional de l’élève s’il le souhaite

 

Faire un signalement:

Un signalement, qui peut être fait par toute personne, n’est possible qu’en situation d’acte de violence à caractère sexuel[1] commis à l’endroit d’un élève qui fréquente un établissement d’enseignement.

 

Un tel signalement est effectué directement au protecteur régional de l’élève, sans avoir à passer par les deux premières étapes du processus, par :

–        une enseignante ou un enseignant
–        une professionnelle ou un professionnel œuvrant en milieu scolaire
–        une employée ou un employé membre de la direction d’un établissement d’enseignement
–        un autre élève ou l’un de ses parents
–        etc.

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :

Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

Protection contre les représailles

La Loi sur le protecteur national de l’élève protège contre toute représailles ou menaces de représailles les personnes qui portent plainte ou qui font un signalement, collaborent au traitement d’une plainte ou d’un signalement ou accompagnent une personne qui formule une plainte ou un signalement.

Il est également interdit de menacer une personne de mesures de représailles pour qu’elle s’abstienne de porter plainte ou de faire un signalement.

Pour l’élève ou ses parents formulant une plainte ou un signalement, sont présumées être des mesures de représailles :

  • Le fait de les priver de droits
  • L’application d’un traitement différent
  • La suspension ou l’expulsion de l’élève

Pour le personnel d’un établissement d’enseignement effectuant un signalement ou collaborant à l’examen d’une plainte ou d’un signalement, sont présumées être des mesures de représailles :

  • Sa rétrogradation
  • Sa suspension
  • Son congédiement
  • Son déplacement
  • Toute sanction disciplinaire ou autre mesure portant atteinte à son emploi ou à ses conditions de travail

Les amendes pour une personne physique qui exercera des mesures de représailles ou menacera de le faire peuvent aller de 2 000 $ à 20 000 $. Ces amendes peuvent aller de 10 000 $ à 250 000 $ pour les personnes morales.

[1] La violence à caractère sexuel est : « toute forme de violence commise par le biais de pratiques sexuelles ou en ciblant la sexualité, dont l’agression sexuelle. Cette notion s’entend également de toute autre inconduite qui se manifeste notamment par des gestes, paroles, comportements ou attitudes à connotation sexuelle non désirés, incluant celle relative aux diversités sexuelles ou de genre, exprimés directement ou indirectement, y compris par un moyen technologique. » Pour de plus amples renseignements sur les actes de violence à caractère sexuel, vous pouvez consulter la page du gouvernement du Québec sur les formes de violence.